Fraise du Treize
Des gens, des choses m’énervent. Surtout quelqu’un en fait. Mais écrire dessus serait leur donner une importance, les considérer. Alors je ne dirais rien sur eux. Il n’existent pas.
J’ai toujours estimé que parler, c’est faire exister. Les mots ont le pouvoir de matérialiser les choses. Les non-dits ne sont pas, ce sont des non-existences.
Cette odeur enivrante que je ne cesse de sentir sur mon corps. Je la respire encore et encore. Se raccrocher à son pouvoir. Celui d’être Autre, de s’envoler.
Et avec cette musique qui me rappelle cette nuit. La musique à fond dans la caisse, la vitesse, tout brille. Magique.
Ciel bleu. Lumière très intense. Les vacances. Qu’est ce que je vais faire? Travailler (encore!), sortir (pour changer...), voir des gens.
J’aimerais descendre dans le Sud, voir une forêt, ou la mer. Sortir à peine habillée et courrir. Mais il faudrait que j’ai un but. Que je prenne un train avec une destination pour voir quelqu’un, n’importe qui. Je n’ai personne à voir. Alors je pense que je vais me contenter de prendre le métro et d’aller au bois de Boulogne. Hum je ne suis même pas sûre d’en avoir le courage.
J’ai envie de relire Blonde de Joyce Carol Oates. Je ne sais plus où il est. Je ne me lasserais jamais de ce livre. Il est tellement merveilleux, fascinant. Il faut absolument que j’achète la version originale. Ça doit être encore plus beau en anglais.
Quatorze février. La Saint-Valentin. Je trouve les prénoms Valentin et Valentine magnifiques. La fête des amoureux. C’est con, je n’y crois pas.
Demain, je tomberais amoureuse. Quand je sortirais du métro à Péreire à dix heures trente. Je me retournerais, et je verrais the one and true love. Et même qu’il s’appelera Samuel tralala... On tombera dans les bras l’un de l’autre. Et il sentira aussi bon que T... Il me chuchotera au creux de l’oreille. Et il aimera mon parfum “à la barbe à papa”. Fusion, passion : mon alter-ego. Bon. J’arrête de rêver&fantasmer.
J’ai toujours estimé que parler, c’est faire exister. Les mots ont le pouvoir de matérialiser les choses. Les non-dits ne sont pas, ce sont des non-existences.
Cette odeur enivrante que je ne cesse de sentir sur mon corps. Je la respire encore et encore. Se raccrocher à son pouvoir. Celui d’être Autre, de s’envoler.
Et avec cette musique qui me rappelle cette nuit. La musique à fond dans la caisse, la vitesse, tout brille. Magique.
Ciel bleu. Lumière très intense. Les vacances. Qu’est ce que je vais faire? Travailler (encore!), sortir (pour changer...), voir des gens.
J’aimerais descendre dans le Sud, voir une forêt, ou la mer. Sortir à peine habillée et courrir. Mais il faudrait que j’ai un but. Que je prenne un train avec une destination pour voir quelqu’un, n’importe qui. Je n’ai personne à voir. Alors je pense que je vais me contenter de prendre le métro et d’aller au bois de Boulogne. Hum je ne suis même pas sûre d’en avoir le courage.
J’ai envie de relire Blonde de Joyce Carol Oates. Je ne sais plus où il est. Je ne me lasserais jamais de ce livre. Il est tellement merveilleux, fascinant. Il faut absolument que j’achète la version originale. Ça doit être encore plus beau en anglais.
Quatorze février. La Saint-Valentin. Je trouve les prénoms Valentin et Valentine magnifiques. La fête des amoureux. C’est con, je n’y crois pas.
Demain, je tomberais amoureuse. Quand je sortirais du métro à Péreire à dix heures trente. Je me retournerais, et je verrais the one and true love. Et même qu’il s’appelera Samuel tralala... On tombera dans les bras l’un de l’autre. Et il sentira aussi bon que T... Il me chuchotera au creux de l’oreille. Et il aimera mon parfum “à la barbe à papa”. Fusion, passion : mon alter-ego. Bon. J’arrête de rêver&fantasmer.
Commentaires :
Si tu veux passer m'voir..
Plus sérieusement, j'ai ajouté ce livre à ma liste (de livres-à-acheter-bientôt). Merci.